Sous-histoire, suite.
Deuxième phase. Clap.
Un renard vagabond avait quitté avait le maquis de Malpertuis pour
aller chercher « des vivres pour sept ans » à entasser dans sa
retraite et, après avoir longuement hésité et observé les lieux, le
gueux s’était finalement décidé...
- Comme un diable aux cheveux roux, Douchka ? Comme un coupeur de
routes caché dans les feuillages ? Comme un kuluna, un fumeur de
chanvre et consommateur de supu na tolo, de lotoko ou de zododo, un téteur
de gros seins gorgés de lait maternel (réputé très nourrissant), un
revendeur au marché Koweit de Gambela de sous-vêtements féminins chouravés à
l'arrière des parcelles, un chasseur de rats de kikoso, de zinnekes
pouilleux et galeux... ou de chats épais, racés, peignés, castrés et vaccinés
qui font le bonheur des enfants des nantis et des friqués ?
- Ben oui, quoi ! Nyama ya sima ya ndako, quoi ! Douterais-tu encore de
l'innocence des rouquins, des bills et des ballados, des shégués et des
shayeurs, des baraquis et des romanichels, des
"allochtones" (ndingaris, popos ou waras), des molati et des ndundu ?
- Ata yo moko !
à traverser le chemin bordé d'arbres et de haies pour aller
farfouiller et fouiner dans le hangar à outils, le WC et la tranchée-poubelle,
la soue... Gaffe ! Quand elle est dérangée, la truie de Monsieur Pinchon
peut devenir méchante !, du cochon, l'arbre à poules (dont
Chantecler, alias Cocriacot, un coq-pasteur fanfaron, frimeur et infatué de sa
personne, annonciateur de l'aube et apôtre en chef, entouré de ses douze diaconesses
préférées, faisant tout son possible pour paraître énergique et vigoureux et
occupant la branche la plus élevée en grade), l'abri des oies et des canards
et...
le rôdeur avait été surpris… Driiiiiiing Ngging ! et ef-
frayé par le timbre de la sonnette du vélo du facteur et avait sur-
sauté et avait voulu se je-
ter sur le bas-
côté du chemin et avait ten-
té de se glisser sous la haie et s'é-
tait pris les pattes dans une racine ou une ronce qui cherchait à franchir
le passage et à gagner l'autre rive...
Un renard trimardeur ou chemineau s'était donc retrouvé sous la roue avant
de la bicyclette du facteur à vélo, provoquant ainsi un stupide accident de
la circulation en milieu rural et une interruption momentanée de la délivrance
du courrier par le service public de la Poste.
- Allo coucou ! Hola caracola ! Je suis ton mari préféré et tu es ma
critique la plus criticona... Je t'écoute, dis-moi !
- Un facteur à vélo, Douchka ? Avec des pinces à pantalon et des
fixe-chaussettes ?
- T'as tapé juste ! Onyati ! Un facteur qui se rend au domicile des
gens, qui les rencontre et qui leur parle, échange des blagues et des potins
avec eux ! Un facteur qui aime RIIIRE, connait tout le monde et que tout
le monde connait ! Un facteur qui, dans chaque ferme ou dans chaque maison,
appelle le chien des habitants par son prénom païen ! Un facteur de proximité
qui boit un verre à l'occasion, pour fêter une naissance, compatir à un
deuil... ou, sans trop se faire prier, "pour la route
- E bongo ! Un facteur comme dans l'ancien temps, avant la
taylorisation et l'au" !
- No me digas !tomatisation (c'est déjà une vieille histoire), la
dénationalisation, la robotisation... ou, bientôt, l'hologramisation des
fonctionnaires de la Poste ! Comme avant les boîtes à lettres collectives
... ou, bientôt, les drônes chargés du parachutage du courrier express
! Comme avant l'explosion des réseaux sociaux et du trafic de l'internet
mobile sur tablettes et smartphones connectés en 3 G ou en 4 G à haut
débit (et les applis Skype, Viber, WhatsApp, Facebook Messenger, Snapchat,
Instagram, etc) permettant d'échanger des messages textuels ou vocaux, des
"notes vocales" et des images avec les gens... sans devoir les
rencontrer, sans devoir faire leur connaissance, sans devoir leur serrer la main,
sans devoir les toucher ou renifler leurs odeurs ! Et sans devoir demander
l'heure ou son chemin à personne
- No me digas !
- No me digas !
- E bongo ! Un facteur comme avant tous les grands bouleversements
intervenus dans le domaine de l'intelligence des choses et des situations, des
échanges entre personnes et de la transmission des idées ou des
"émotions" : le formatage et l'uniformisation,
l'informatisation et la numérisation (plus de contact ni
d'interlocuteur, on paie uniquement par carte, le support
électroniqu supplante le support papier, on parcourt l'information sur Google
sans se montrer... Sauf à la NSA ou à d'autres "services"!, ni
s'impliquer, on navigue au GPS, on fait des recherches sur Youtube... Ou sur
Youporn !, on adhère à des prétendus "réseaux sociaux", on se fait
des followers, on balance des textos ou des messages vocaux), la
mondialisation et la délocalisation, la privatisation, l'uberisation et la
robotisation de la pensée, des émotions, de la culture et de la communication
!
- Un facteur à vélo, ya solo ?
- Ya solo !
- No me digas ! Est-ce encore normal à notre époque ?
S'agirait-il donc d'un facteur contre le progrès ? Ou d'un facteur
obscurantiste et rétrograde du même tonneau que les chouans réfractaires au
Roundup de Monsanto, à l'immaculée conception des vaches et des chevaux ou à
l'avatarisation des espèces vivantes? Qu'est-ce que ça cache encore ? Quelles
rancoeurs ou quelles nostalgies ? Quels deals, quels rackets, quelles
turpitudes ou quelles menées subversives ? Quels anciens régimes ou quelles
restaurations ?
- Rien de tout cela, petite chérie ! Une autre façon de vivre ensemble, tout simplement : de façon libre, égalitaire et fraternelle ! Un autre modèle de société : plus chaleureux, plus solidaire, plus pacifique et plus respectueux des hommes, des femmes et des êtres et des choses qui les entourent ! Un modèle moins managériel et moins concurrentiel, moins tributaires d'impératifs de performance ou inféodé à des exigences de rentabilité financière, moins productiviste et moins consumériste, moins profitable pour quelques privilégiés et moins tyrannique et inéquitable (voire cauchemardesque et apocalyptique) pour tous les autres...
- Rien de tout cela, petite chérie ! Une autre façon de vivre ensemble, tout simplement : de façon libre, égalitaire et fraternelle ! Un autre modèle de société : plus chaleureux, plus solidaire, plus pacifique et plus respectueux des hommes, des femmes et des êtres et des choses qui les entourent ! Un modèle moins managériel et moins concurrentiel, moins tributaires d'impératifs de performance ou inféodé à des exigences de rentabilité financière, moins productiviste et moins consumériste, moins profitable pour quelques privilégiés et moins tyrannique et inéquitable (voire cauchemardesque et apocalyptique) pour tous les autres...
- Mais d'où tu le sors, ce gars-là, Douchka ? De ton imagination
exubérante et intempestive (ou déliquescente ou carrément obsolescente diront
les tenants du Tout-Puissant Marché) ? De quelle cave ou de quel grenier, de
quelle réserve ou de quel entrepôt, de quel vieux livre de recettes, de quel
cimetière passé de mode ou de quel musée de la ringardise ? De quel parti vert,
anarchiste ou révolutionnaire ? Ou de quel syndicat du même bord ? Un facteur à
vélo ! Ohooh ! Increïble, ko ! Nakoki kondima yango te !
- Et pourtant, pourtant, pourtant...
- Et pourtant, pourtant, pourtant...
Le facteur à vélo de cette histoire normale mais vaseuse, incohérente et "même pas drôle", dirait ma femme mariée... Et qui ne fait même pas bander, abonderait Jipéji !, était un fan des lettres, des mots et de la ponctuation (et particulièrement des points d'exclamation, d’interrogation et de suspension...) et ce facteur avait toujours refusé de nettoyer les chiottes ou de porter la croix, la bannière, la faucille ou le marteau sous les ordres d'un cabot qui lui prendrait la tête (ou les couilles) et lui casserait les couilles (ou la tête) : une patronne, un curé, un adjudant, un fermier, un capita ou un contremaître
N’ayant jamais eu pour ambition ni de labourer les champs, ni de
moissonner les blés, ni ni ni ni ! Rien ! Ni de saigner et d'écorcher le
cochon, ni de traire les vaches, ni de les conduire au pré, au taureau, au
marché ou à l'abattoir, ni de cueillir les fruits du verger, ni de faire le
beurre, ni de devenir ouvrier des chemins de fer, ni de descendre à la mine
chercher la viande de chasse pour nourrir la famille nombreuse et n'ayant
jamais non plus trouvé cet emploi d'hirondelle à double nationalité
(passant l'été en Ardenne et les mois d'hiver en Awoyo ou au Luabongo) ou de
crocodile gardien des eaux (un dormeur, certes, mais aussi une
excellente sentinelle, vigilante et jamais dupe) ou de castor du
Canada (partageant sa retraite, pendant la saison froide, avec...
- Rassure-moi, Douchka, le castor est bien un être végétarien, non ?
- De stricte obédience, petite chérie ! Le castor n'est pas une loutre carnassière (et réputée cruelle, aimant jouer avec ses proies, bruyamment) ! Le castor est un animal pacifique, silencieux et respectueux de l'environnement !
- Et si les arbres pensaient autrement, Douchka ! N'ont-ils pas aussi le droit d'avoir une opinion personnelle, une opinion propre à leur espèce ?
- Peut-être, petite chérie, mais on ne les entend pas !
- Et comment pourraient-ils se faire entendre ? En provoquant des érosions, des inondations, des avalanches ou des glissements de terrain ? En barrant une route, en s'abattant une maison ?
- Oza na raison, Mèré ! Tu as toujours raison !
- De stricte obédience, petite chérie ! Le castor n'est pas une loutre carnassière (et réputée cruelle, aimant jouer avec ses proies, bruyamment) ! Le castor est un animal pacifique, silencieux et respectueux de l'environnement !
- Et si les arbres pensaient autrement, Douchka ! N'ont-ils pas aussi le droit d'avoir une opinion personnelle, une opinion propre à leur espèce ?
- Peut-être, petite chérie, mais on ne les entend pas !
- Et comment pourraient-ils se faire entendre ? En provoquant des érosions, des inondations, des avalanches ou des glissements de terrain ? En barrant une route, en s'abattant une maison ?
- Oza na raison, Mèré ! Tu as toujours raison !
- Je sais !
une famille de homards qui avaient dû fuir leur terrier pour
échapper aux tueries de décembre) ou de chauve-souris s'abritant
de la pluie sous les écorces des arbres ou de hibou à oreilles de chat aux
multiples aventures dont il avait rêvé dans son enfance, ce jeune
homme, donc, était devenu agent des services publics de l'Etat !... mais un
agent pas comme les autres : un agent qui travaillait à son rythme, en
plein air, à l'aisément, par tous les temps, en hiver comme en été, pendant la
saison sèche et pendant la saison des pluies, au soleil et sous la pluie.
Ce facteur-là n'avait pas peur des chiens de ferme et n'hésitait pas à
mettre pied à terre pour caresser ou gronder un ami. Quand il était sur sa
machine, il lâchait son guidon pour répondre au téléphone à ses potes
(lorsqu'il avait accès au réseau), se tripotait les couilles en pédalant,
consultait son horoscope dans les journaux qu'il était chargé de
distribuer et lisait les cartes postales adressées aux usagers de la
Poste, tout en pédalant, en pédalant, en pédalant, en pédalant, en pédalant, en
pédalant et conduisait son engin... De mémoire !, sur toutes les routes, toutes
les pistes et tous les sentiers de la commune.
Mais voilà que ce presque poète s'était laissé dis-
traire et sur-
prendre par le surgissement inat-
tendu d'un re-
nard en ma-
raude.
Et c'est ainsi que le facteur à vélo était passé avec sa sacoche par-dessus
son guidon et avait chuté dans l'herbe après un long vol plané. Et que
le rapineur fût projeté en l'air, envoyé dinguer contre un poteau de
clôture, frappé en pleine gueule par une matraque, un manche de pioche, un
rateau, une porte ou une batte de base-ball, un club de golf ou un palet de
hockey, avant de retomber inconscient sur le chemin bordé d'arbres
et de haies...
Drinnnnng ! Jurons ! Cris ! Glapissements, bruits de tôle froissée ou de
métal déchiré, gémissements, sifflement de pneus qui se dégonflent, hoquets,
gargouillis et flatulences… Surpris par cette avalanche de bruits inhabituels,
Monsieur Pinchon, grand consommateur et producteur de légumes, de musique et de
courrier avait aussitôt délaissé son potager bio-bobo, son secrétaire à
abattant et son piano à queue et s'était précipité (en salopette, en chemise de
nuit ou en jogging, en habit) sur les lieux de l'accident.
Monsieur Pinchon s’était tout d'abord porté au secours du cycliste, légèrement écorché
aux genoux, aux coudes et au menton. Il l'avait aidé à s’asseoir, lui
avait appliqué un onguent de sa fabrication sur les plaies et lui avait fardé
la tête et les mains avec de la poudre rouge qui éloigne la maladie et les
mauvais esprits. Il avait également ramassé la sacoche du facteur et rassemblé
les journaux, les lettres et les cartes postales qui s'étaient éparpillés de tous
côtés.
Monsieur Pinchon avait, ensuite, porté assistance au renard gisant inanimé au
bord du chemin bordé de haies et qui semblait le plus gravement atteint
(l'écumeur ne présentait pas de blessure béante mais... Sekseksek!, recrachait
de nombreuses dents de la mâchoire supérieure et sa gueule était toute
barbouillée de sang). Monsieur Pinchon avait fait respirer des sels au
crocheteur et l'avait aidé à reprendre ses esprits. Il avait aussi appliqué un
baume (à base de curcuma et de terre à foulon) sur le museau tuméfié du
malandrin et avait appliqué des sparadraps sur les oreilles et les arcades
sourcilières du larron.
Enfin, Monsieur Pinchon avait redressé le guidon vert pomme et le
garde-boue rose groseille...
- Oufti ! C'est ton vélo ça, facteur ?
- Oui, aujourd'hui, j'ai décidé de me faire plaisir et de rouler sur son propre vélo, Monsieur Stan !
- Celui de l'Administration est en panne ?
- Pas vraiment ! Mais il est trop lourd, trop vintage... un peu coincé, pas assez coloré
- Oui, aujourd'hui, j'ai décidé de me faire plaisir et de rouler sur son propre vélo, Monsieur Stan !
- Celui de l'Administration est en panne ?
- Pas vraiment ! Mais il est trop lourd, trop vintage... un peu coincé, pas assez coloré
- Kiekiekiekie ! Tu aimes ça, les couleurs de l'arc-en-ciel, dis donc ?
- J'aime aussi la fragilité des ailes d'une libellule, Monsieur Stan
! Et la douceur des aigrettes d'un hibou à oreilles de chat ! Et le
scintillement d'une étoile filante aussi ! Et les éclats bleus dans les yeux
marrons d'un jeune chien aussi ! C'est tout à fait ringard, je sais, mais
j''espère bien que ça ne vous dérange pas, Monsieur Stan ? Après tout,
vous vivez bien avec un cochon, non ?
- Tiesse di quette ! Wallon dè flattes !
du vélo à cadre fluo et avait replacé la chaîne rouge coquelicot qui avait
sauté: « J'espère que ça va aller, facteur ! Mais j'ai bien
l'impression que les pneus de ton vélo ont crevé et que l'axe de la pédale est
faussé vers le bas ! ».
Il s'était de même essayé à rafistoler la mâchoire du renard :
« Vaille que vaille, jeune homme ! Ce n’est que du travail d'amateur
! Pour bien arranger ça, il faudra sans doute que vous fassiez arracher toutes
les dents du dessus et placer un dentier ! ».
Sous-histoire, troisième phase.
Perte du fil.
Depuis son accident, le rouquin ne mangeait plus que d’un seul côté, n'attrapait plus
aucune proie et se nourrissait exclusivement de crèmes, de yoghourt, de
bouillies, de panades, de compotes et de mousselines, de potées, de pâtées, de
purées, de nouilles chinoises, de "sauces" et de semoules, de boîtes
de pilchards et de sardines à l'huile Anny, de corned-beef Exeter, de brouets
et de ratatouilles, de potages de légumes, de jus de tomates et de soupes
d'orties, de bouillons aux herbes parfumés à l'eau de rose... ou au jus de
purin
Lédenté avait, certes, rapidement découvert (en creusant des
galeries, en ouvrant des cercueils et en farfouillant dans les tombes d'un
vieux cimetière à la recherche de nourriture...) un dentier usagé,
plutôt instable et mal adapté à sa mâchoire. Le carambolé se l'était
fait placer par Monsieur Pinchon assisté par le facteur à vélo, toujours
culpabilisé, mais cette prothèse tombola bwaka avait tendance à se
décrocher au plus mauvais moment (quand le polisson embrassait avec la
langue, quand le célébré soufflait sur les bougies du gâteau que Ma Mbutu lui
avait offert pour son anniversaire ou quand le mauvais coucheur engueulait ses
voisins et injuriait le mari de sa maîtresse... La whonte !) si bien
que, désormais, plus personne ne prenait le renard vraiment au sérieux.
Ni les poules arboricoles, ni les canards tapageurs, ni les oies grinçantes
de Monsieur Pinchon. Ni ni ni ni...
Ni, particulièrement, un paon ou un dindon effronté du voisinage qui
n'arrêtait pas de crier.. Léon ! Léon ! Léandre ! Léandre !, provoquait Lédenté
et se moquait de lui... Pia ! Glouglou ! Glouglou ! Pia ! Pia !, parce que
l'invalide gardait toujours la main devant la bouche (craignant, sans doute, de
perdre son appareil dentaire et d'être immortalisé et balancé sur Facebook
dans cette posture humiliante et ridicule par le smartphone d'un corbeau
hilare, nourrissant une vieille rancune et toujours à l'affût) et que le mutilé
n'était même plus en mesure de gueuler et de remettre à sa place ce grotesque
volatile qui lui manquait de respect.
- Tika ! Ça suffit ! Kanga monoko na yo ! Et
cesse m'appeler Léon, ko !
- Léandre ! Léandre ! Léandre ! Pia ! Pia ! Saradjouglo !
Okéé...
Fin abrupte de la troisième phase de la sous-histoire relatant comment
Lédenté, Monsieur Pinchon et le facteur à vélo se sont rencontrés et ce
qu'il est résulté de cette entrevue.
Pas facile (et ça me fait chier) de raconter normalement des histoires
normales (et des sous-histoires aussi avec ou sans plusieurs mouvements, c'est
pareil) à des gens normaux ! Marre !
Aurais-je encore foiré ? Raconter des histoires, ce n'est pas vraiment mon
truc ?
Et schtonk dans leur derrière !
Ndlr : Vous êtes perdu(e)s ?
Et vous vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et crapuleux » ?
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